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Publications

Dans un souci de transparence et d’information, le BFP publie régulièrement les méthodes et résultats de ses travaux. Les publications sont organisées en séries, entre autres, les perspectives, les working papers et planning papers. Certains rapports peuvent également être consultés ici, de même que les bulletins du Short Term Update publiés jusqu’en 2015. Une recherche par thématique, type de publication, auteur et année vous est proposée.

Documents (37)

2024

  • Description et utilisation du modèle Artelys Crystal Super Grid 06/02/2024

    Le modèle Artelys Crystal Super Grid, développé par la société française Artelys, se focalise sur le secteur de l’électricité. Fonctionnant avec une haute résolution temporelle, il permet d’évaluer l’impact de mesures affectant le parc de production, par le biais de divers indicateurs. Ces derniers ont notamment trait à la sécurité d’approvisionnement, au coût de l’électricité, et à la durabilité du système, via les émissions de gaz à effet de serre.

    Working Papers - DC2024_WP_06  Publication(fr), Publicatie(nl),

2021

  • Bon vent: setting sail for a climate neutral Belgian energy system – Future Belgian offshore wind unravelled 18/10/2021

    Cette étude analyse le rôle que l'éolien offshore peut jouer pour aider la Belgique à atteindre la neutralité climatique d'ici 2050. La zone économique exclusive belge est limitée et son exploitation à des fins énergétiques ne peut être étendue indéfiniment. Par conséquent, le développement de projets conjoints hybrides d’énergie éolienne offshore a été étudié. Ces projets fournissent à la fois une capacité d'énergies renouvelables et peuvent servir d'interconnecteurs reliant différents pays. Deux scénarios ont été définis et étudiés. Ils se distinguent par l’envergure de ces hubs hybrides et l’offre d'électricité nécessaire à une économie belge défossilisée.

    Working Papers - Working Paper 08-21  Publication(en),

2020

  • Fuel for the future - More molecules or deep electrification of Belgium's energy system by 2050 21/10/2020

    Dans ce rapport, la place que l’hydrogène pourrait occuper dans le futur système énergétique de la Belgique d’ici 2050 est examinée. Ce rapport se concentre plus particulièrement sur deux évolutions contrastées des usages (finaux) de l’énergie : d’une part, une forte électrification de la consommation finale d’énergie, d’autre part, une augmentation soutenue du recours au gaz pour les transports, les besoins de chaleur (industrielle) et la production d’électricité. Il décrit différents résultats de deux visions d’avenir, notamment sur le plan des investissements nécessaires dans les infrastructures (les interconnexions, les électrolyseurs, le stockage).

    Working Papers - Working Paper 04-20  Publication(en),

  • Le coronavirus secoue le secteur électrique belge 17/06/2020

    La période inédite de long confinement qui a été décidée suite à la propagation du coronavirus à l’échelle mondiale a eu des répercussions dans tous les domaines de la société. Compte tenu de la nature, de l’ampleur et de la célérité de la crise sanitaire, les marchés de l’énergie n’ont pas été épargnés et le paysage énergétique en a été perturbé.  Certains points faibles du système actuel sont ainsi apparus au grand jour.

    Articles - Article 20200617  

2019

2018

  • Indisponibilité nucléaire en novembre 03/10/2018

    Le vendredi 21 septembre 2018, ENGIE, l’exploitant opérationnel des sept réacteurs nucléaires sur le territoire belge, a annoncé que l’unité nucléaire T3 sera à l’arrêt cinq mois de plus que prévu (jusqu’au 1er mars 2019), que l’unité T2 ne sera pas opérationnelle avant début juin 2019 et que l’unité T1 subira un entretien planifié fin octobre. Cette annonce a indubitablement un impact sur le parc électrique belge. Il avait déjà été communiqué précédemment que D1, D2 et D4 seraient également à l’arrêt jusque décembre 2018. Dans la pratique, cela signifie que, durant tout le mois de novembre 2018, seul un des sept réacteurs nucléaires sera en mesure de produire de l’électricité. Vu la part importante de l’énergie nucléaire dans le parc de production d’électricité belge et l’indisponibilité de 85 % de cette capacité durant l’hiver, un suivi minutieux et continu de l’adéquation de l’offre à la demande est nécessaire. D’autant plus qu’une panne totale aurait un énorme coût économique en Belgique.

    Articles - Article 20181003  

2017

  • Increasing interconnections: to build or not to build, that is (one of) the question(s) - Addendum to the cost-benefit analysis of adequate future power policy scenarios 28/09/2017

    Ce rapport, rédigé à la demande de la ministre fédérale de l’Energie, s’inscrit dans le prolongement de l’analyse coûts-bénéfices réalisée en février 2017 par le Bureau fédéral du Plan. Ce rapport la complète en examinant une série de nouveaux éléments qui ont un impact sur le parc de production belge. Quatre questions sont abordées. Premièrement, l’impact d’une augmentation de 2 GW de la capacité de transport aux frontières de la Belgique sur le fonctionnement du parc domestique de production thermique flexible est analysé. Plus particulièrement, les effets de cette augmentation sur la durée de fonctionnement des centrales au gaz, le coût marginal du système, les émissions de CO2, les volumes de gaz naturel nécessaires et l’emploi sont décrits. Deuxièmement, le rapport évalue le coût du maintien en service des centrales au gaz actuelles et le compare au coût de construction de nouvelles unités fiables et flexibles. Troisièmement, les effets socioéconomiques d’un risque accru de black-out sont passés en revue. L’asymétrie économique qui en résulte en termes des coûts et bénéfices du maintien d’une capacité de production intérieure suffisante pour respecter le critère légal de perte de charge (LOLE) de 3 heures est documentée. Enfin, la question de la fermeture anticipée des centrales au gaz présentes sur le marché belge et qui n’ont pas encore atteint la limite de leur durée de vie opérationnelle est examiné au travers de plusieurs indicateurs.

    Rapports - CBA_201702  Publication(en),

  • Cost-benefit analysis of a selection of policy scenarios on an adequate future Belgian power system - Economic insights on different capacity portfolio and import scenarios 22/02/2017

    Ce rapport présente une analyse coût-bénéfice de plusieurs scénarios compatibles avec l’adéquation du système électrique belge d’ici 2027. Ces scénarios se fondent sur les informations contenues dans deux rapports publiés en 2016 par le gestionnaire du réseau de transport national Elia. Les rapports d’Elia étudient l’adéquation et les besoins en flexibilité du système électrique belge dans le futur ; ils déterminent si un bloc structurel est nécessaire ou non et, le cas échéant, précisent son volume. On définit le bloc structurel comme le volume de puissance nationale réglable nécessaire pour équilibrer à tout moment l’offre et la demande d’électricité selon les critères légaux actuels de sécurité d’approvisionnement. L’analyse coût-bénéfice se penche sur les effets de différentes compositions du bloc structurel sur plusieurs éléments du bien-être social. Elle répond à des préoccupations exprimées par un certain nombre de stakeholders après la publication des rapports d’Elia.

    Rapports - CBA_2017  Publication(en),

2016

  • Marché de l’électricité : facteurs influençant la formation des prix de gros dans une petite économie ouverte - Enseignements tirés de la relance du nucléaire en Belgique 12/10/2016

    Cette étude analyse, par le biais d’une double méthodologie, l’impact de l’arrêt et du redémarrage de plusieurs réacteurs nucléaires sur les prix de gros de l’électricité sur la bourse belge de l’électricité. Dans la première approche, un modèle statistique stable est construit à partir de données de marché publiées et est ensuite exploité pour examiner les effets des variations de production nucléaire d’électricité sur les prix du marché. La quantification de ce phénomène (également appelé « le merit-order effect ») par le biais de méthodes économétriques a révélé une baisse de prix estimée à 10 €/MWh environ sur une année pour une augmentation de la capacité nucléaire de 2,5 GW. Ces résultats mettent en lumière le degré d’ouverture du marché belge et son corollaire, sa forte dépendance aux échanges transfrontaliers d’énergie. À côté de cette analyse empirique, l’outil d’optimisation Crystal Super Grid a permis d’estimer l’impact de la relance des réacteurs nucléaires sur plusieurs indicateurs du paysage électrique belge et européen. À titre d’exemples, on observe des effets positifs sur le niveau du bien-être général, la rente du consommateur et les émissions de CO2.  Cette analyse confirme l’effet « merit-order » négatif sur les prix, qui est calculé à 3,8 €/MWh en moyenne sur une année. Toutefois, des pics horaires sont observés avec des valeurs pouvant atteindre 30 €/MWh. L’étude décrit ensuite les causes possibles de divergence de résultats entre les deux approches.

    Nos constatations ont des implications importantes pour les politiques à mener. En effet, elles montrent la nécessité de tenir compte des pressions à la baisse exercées par une production nucléaire prolongée d’électricité sur les prix de gros de l’électricité au cas où l’on envisagerait de revoir (le calendrier de) la loi sur la sortie du nucléaire. Ces effets sont de nature à retarder la transition énergétique qui s’impose vers une économie à faible intensité en carbone.

    Working Papers - Working Paper 09-16  Publication(en), Publication(fr), Publicatie(nl),

2015

  • Etude sur les perspectives d’approvisionnement en électricité à l’horizon 2030 15/01/2015

    L’Etude sur les perspectives d’approvisionnement en électricité à l’horizon 2030 (étude prospective électricité 2 ou EPE2) fait suite à l’Etude sur les perspectives d’approvisionnement en électricité 2008-2017 (EPE1), publiée en décembre 2009. Elle a été établie par la Direction générale de l’Energie du SPF Economie, P.M.E., Classes moyennes et Energie en s’appuyant sur la collaboration du Bureau fédéral du Plan.

    Autres publications - REP_ENERG_1301  Etude(fr), Studie(nl),

2014

  • De prijs van elektriciteit en aardgas voor ondernemingen in België - Samenstelling, niveau en evolutie ten opzichte van de buurlanden 18/12/2014

    En 2012, les prix sans cesse croissants de l'électricité et du gaz naturel a incité le gouvernement fédéral à prendre des mesures pour mieux les maîtriser. Ces mesures devraient entraîner une amélioration de la position concurrentielle de la Belgique. La présente étude analyse l'évolution des prix de l'électricité et du gaz naturel pour les entreprises belges et trois pays voisins au cours des années 2007 - 2014. Elle se fonde sur les statistiques de prix d'Eurostat et sur quelques autres sources de données. Il ressort de l’étude que la Belgique a longtemps occupé la deuxième place en termes de cherté de l’électricité (prix moyens de l’électricité), mais que les hausses de prix ont été moins importantes qu’en Allemagne et en France. Ainsi, les prix sont plutôt moyens voire bas en 2014, ce qui semble indiquer que les mesures ont produit leur effet. Les prix du gaz naturel ont compté parmi les plus bas durant toute cette période Pourtant, il subsiste encore des points préoccupants, surtout en ce qui concerne le prix de l'électricité. Le point qui réclame le plus d'attention concerne l'industrie à forte intensité énergétique. Elle bénéficie de réductions fiscales dans les quatre pays et parfois même de réductions sur les tarifs de réseau. De ce fait, la position de la Belgique est peut-être moins favorable que ne l'indiquent les prix moyens. Il importe donc de continuer à analyser les prix pour l’industrie à forte intensité énergétique.

    Working Papers - Working Paper 10-14  Publicatie(nl),

  • Belgische black-outs berekend - Een kwantitatieve evaluatie van stroompannes in België 10/03/2014

    Libéralisation, marché intérieur, interconnexions, réduction des émissions de gaz à effet de serre, développement des énergies renouvelables : ces objectifs sont-ils conciliables ? Et dans l’affirmative, le courant passera-t-il toujours ? Cette question constitue une préoccupation majeure de nombreux acteurs sur la scène électrique, dont le Secrétaire d’État à l’Énergie qui doit veiller à garantir la sécurité d’approvisionnement. Or, cette sécurité n’est pas des plus évidentes à assurer à une période où une part croissante de l’électricité est produite par des sources d’énergie variables et où les signaux d’investissement sont faussés. L’absence d’investissements dans une capacité de réserve et - dans le pire des cas - une capacité insuffisante de production peuvent entraîner des coûts très importants pour la société. Ce Working Paper analyse le coût d’un événement spécifique qui pourrait survenir en dépit de toutes les initiatives et mécanismes qui existent : une panne de courant nationale qui paralyse l’économie belge durant une heure.

    Working Papers - Working Paper 03-14  Publicatie(nl),

2013

  • Walking the green mile in Employment - Employment projections for a green future 09/09/2013

    En 2011, les quatre ministres de l’énergie ont chargé un consortium de trois instituts scientifiques de réaliser une étude de faisabilité. Le Bureau fédéral du Plan, l’ICEDD et le VITO ont analysé la faisabilité d’une mutation à l’horizon 2050 de notre système énergétique actuel (qui englobe l’électricité, le chauffage, le refroidissement et les transports) vers un système fondé à 100% sur les énergies renouvelables et en ont calculé le coût. Après un an de travaux, le consortium est arrivé à la conclusion qu’une telle mutation est techniquement réalisable mais suppose un important choix de société dont le prix n’est pas anodin. En revanche, un système fondé sur les énergies renouvelables présente des avantages indéniables. Premièrement, une baisse significative des coûts d’importation des combustibles fossiles (pétrole, gaz naturel et charbon) qui allège notre facture énergétique externe et réduit les risques politiques et économiques liés à ces importations. Deuxièmement, une diminution des émissions de gaz à effet de serre et, partant, des risques sanitaires et coûts liés aux dommages subis. Enfin, ce système permettrait la création de nombreux emplois. Cette étude examine les créations nettes d’emploi qu’une transition énergétique vers plus d’énergies renouvelables peut générer, mais pointe aussi les possibles pièges et les conditions à satisfaire.

    Working Papers - Working Paper 07-13  Publication(en),

  • Analyse de l’adéquation de la production électrique en Belgique à l’horizon 2030 - Analyse basée sur les scénarios du projet d’EPE2 02/09/2013

    L’analyse proposée dans ce Working Paper se base sur les scénarios du projet d’étude prospective électricité (EPE2) élaboré par la Direction générale de l’Energie du SPF Economie, P.M.E., Classes moyennes et Energie en collaboration avec le Bureau fédéral du Plan. La question étudiée dans cette analyse est de savoir si la capacité totale de production qui découle du critère de fiabilité adopté dans l’EPE2 est cohérente avec les résultats d’une analyse de l’adéquation de la production selon l’approche suivie par ENTSO-E, le réseau européen des gestionnaires de transport d’électricité.

    Working Papers - Working Paper 04-13  Publication(fr),

2012

  • Towards 100% renewable energy in Belgium by 2050 12/12/2012

    En 2011, les quatre ministres belges de l’énergie (un ministre fédéral et trois ministres régionaux) ont chargé un consortium constitué de trois partenaires scientifiques, à savoir le Bureau fédéral du Plan (BFP), l’Institut de Conseil et d'Etudes en Développement Durable (ICEDD) et le Vlaamse Instelling voor Technologisch Onderzoek (VITO), d’étudier la faisabilité et l’impact d’une évolution du système énergétique belge vers un mix énergétique composé exclusivement d’énergies renouvelables à l’horizon 2050. Cet objectif ne s’applique pas seulement au secteur électrique, mais bien à l’ensemble de l’énergie primaire consommée en Belgique.

    La question-clé qui est posée dans cette étude est de savoir si la Belgique pourra compter entièrement sur les sources d’énergie renouvelables à l’horizon 2050. L’étude montre que c’est possible mais que l’objectif est ambitieux. Un tel basculement nécessiterait des investissements de 300 à 400 milliards d’euros au total d’ici 2050 mais permettrait en même temps de répondre à bon nombre de défis.
     

    Autres publications - ENERG_1201  Report(en),

2011

  • Etude prospective concernant la sécurité d’approvisionnement en gaz naturel à l’horizon 2020 04/10/2011

    Le gaz naturel est une des composantes majeures du mix énergétique de la Belgique et devrait le rester dans les années à venir. La sécurité d’approvisionnement en gaz naturel est donc une des priorités de la politique énergétique belge. Afin de permettre aux autorités et aux « stakeholders » d’en suivre l’évolution, le législateur a prévu l’établissement d’une étude prospective concernant la sécurité d’approvisionnement en gaz naturel (étude prospective gaz naturel ou EPG).

    Autres publications - EPG 2008-2020 – Final report  Etude prospective(fr), Prospectieve studie(nl),

2009

  • Etude sur les perspectives d’approvisionnement en électricité 2008-2017 30/11/2009

    L’étude sur les perspectives d’approvisionnement en électricité (étude prospective) 2008-2017 s’inscrit dans la continuité des programmes indicatifs élaborés par la Commission de régulation de l’électricité et du gaz (CREG) ainsi que dans la ligne des études menées par le Bureau fédéral du Plan (BFP) dans le cadre des « Planning Papers » relatifs aux perspectives énergétiques de la Belgique et des travaux réalisés en support de différentes études, telles que l’étude Post Kyoto ou l’étude pour la Commission Energie 2030.

    Autres publications - EPE 2008-2017 - Final report  Rapport(fr), Verslag(nl),

2006

  • Economic impact of the oil shock on the Belgian economy 13/03/2006

    This working paper assesses the impact of the oil price shock on the Belgian economy and tries to explain why the impact has been very limited when compared to the oil price shocks in the seventies.

    Articles - Working Paper 01-06  

  • Les conséquences économiques du choc pétrolier sur l’économie belge 10/01/2006

    La hausse du prix du pétrole a été ces derniers mois un des phénomènes marquants de la vie économique et sociale. Les niveaux atteints aujourd’hui se rapprochent à des records historiques, ce qui, si l’on se réfère aux crises pétrolières des années 70, devrait avoir des conséquences dramatiques sur l’économie: hausse des prix, chute de rentabilité des entreprises, pertes du pouvoir d’achat, chômage, désindustrialisation. Cette perspective est d’autant plus préoccupante que les marchés à terme retiennent des prix élevés dans leurs perspectives. Il s’agit là d’un fait nouveau.

    Working Papers - Working Paper 01-06  Publication(fr),

2005

  • STU 04-05 : Special Topic - Transdisciplinarity and the governance of sustainable development 23/12/2005

    HEADLINES BELGIAN ECONOMY - DECEMBER 2005

    The latest update of the FPB medium-term outlook for Belgium shows an average GDP growth reaching 2.1% during the 2005-2010 period. This development can be largely accounted for by both domestic demand and exports, although the contribution of net exports to economic growth is expected to be limited; the current account should continue to decrease until 2006 due to terms of trade losses. Private consumption should grow at a moderate pace during the projection period (1.7% on average), in line with growth of households’ disposable income in real terms. At the same time, gross fixed capital formation (and particularly business investment) should grow at a sustained pace with annual growth reaching 2.9% on average. The structural loss of export market share should be important, with exports increasing by 5% a year on average, compared with a 6.5% growth of our potential export markets.

    Inflation should reach 2.2% on average during the projection period, due to figures close to 3% in 2005 and 2006. The current acceleration is explained by high energy prices and the recent depreciation of the euro against the dollar. However, inflation should be around 2% in 2007 and fall below 2% at the end of the projection period, mainly because of limited wage increases and moderate rises in imported costs. Employment is expected to increase by about 33,000 jobs a year during the 2005-2010 period. This performance can be explained by several factors: a relatively favourable macroeconomic context, limited wage increases, a - although very slow - reduction in working time and various measures taken to promote employment. Nevertheless, the fall in the unemployment rate should be very limited due to a considerable increase in the working population.

    The FPB October update of the medium term outlook for Belgium does not yet take into account the measures taken within the framework of the 2006 budget.

    Séries clôturées - Short Term Update 04-05  Publication(en),

  • Quelle énergie pour un développement durable ? 12/07/2005

    L’énergie est un facteur clé du développement économique et social actuel, tant pour les pays développés que pour les pays en développement. Les modes de développement adoptés depuis la révolution industrielle reposent notamment sur une énergie abondante. La question qui a suscité la préparation de ce working paper est de savoir si cette consommation et cette production d’énergie permettent un développement durable. Pour répondre à cette question, la réflexion menée dans ce working paper aborde l’ensemble de la politique énergétique, tout en portant une attention particulière aux problématiques des changements climatiques et de l’énergie nucléaire.

    Working Papers - Working Paper 14-05  Publication(fr),

  • Hervorming van netwerkindustrieën: theoretisch kader 01/06/2005

    Les industries de réseau présentent des caractéristiques susceptibles d’empêcher un fonctionnement optimal du marché. Les infrastructures en constituent l’exemple le plus patent : elles requièrent des investissements qui peuvent être tellement lourds que la coexistence de plusieurs réseaux concurrents n’est pas toujours possible. L’infrastructure confère alors une position monopolistique, avec les conséquences économiques qui en découlent. Un autre exemple a trait à la présence d’externalités : les acteurs du marché ne prennent pas nécessairement en compte dans leurs décisions certaines propriétés de réseau, de sorte que les prix et quantités produites peuvent s’avérer non optimaux sur le plan du bien-être général. Or, les industries de réseau produisent des services d’intérêt général. Il importe donc de garantir l’accessibilité à ces services, tant au niveau des prix que de la disponibilité de l’offre, et d’assurer que ces services soient produits dans les meilleures conditions d’efficacité. Par conséquent, il est souhaitable que les industries de réseau fassent l’objet d’une certaine forme de régulation.

    Working Papers - Working Paper 08-05  Publicatie(nl),

  • Réforme de marché dans les industries de réseau en Belgique 01/06/2005

    Une réforme des industries de réseau est en cours depuis les années 1990 dans les États membres de l’Union européenne, en partie à l’initiative des États membres eux-mêmes, en partie à l’initiative de la Commission européenne. Elle a pour objet, d’une part, d’encourager une concurrence effective par la réalisation du marché unique, et d’autre part, de renforcer l’efficacité économique. Avant cette réforme, les industries de réseau jouissaient pour la plupart d’un monopole légal au niveau national et étaient souvent aussi des entreprises publiques. Comme les industries de réseau jouent un rôle économique et social essentiel, une telle structure permettait de garantir aux pouvoirs publics un droit de regard sur leur fonctionnement. Toutefois, elle comportait aussi un grand risque d’inefficacité. Par ailleurs, la persistance de monopoles nationaux est contraire à l’esprit du marché unique européen, dans lequel les entreprises sont libres de pénétrer sur les marchés des autres États membres. La réforme est principalement destinée à autoriser la concurrence et à réglementer l’accès à l’infrastructure. Dans plusieurs cas, elle s’accompagne d’une privatisation.

    La présente étude analyse, pour la Belgique, les conséquences des réformes des secteurs de l’électricité, du gaz, des télécommunications, des chemins de fer et des postes. Il ressort de l’analyse que la réforme a une incidence économique essentiellement favorable.

    Séries clôturées - Planning Paper 98  Publication(fr), Publicatie(nl),

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