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L'institution

Le Bureau fédéral du Plan (BFP) est un organisme indépendant d'intérêt public. Il réalise des études et des prévisions sur des questions de politique économique, sociale, environnementale et leur intégration dans une perspective de développement durable.

Dirk Verwerft

Picture : Dirk Verwerft

En tant qu'expert au sein de l'équipe études structurelles, Dirk Verwerft étudie l'impact des réformes structurelles principalement par le biais du développement, de la mise à jour et en œuvre de modèles dynamiques d’équilibre général. Il gère la version belge du modèle DSGE QUEST III R&D de la DG ECFIN de la Commission européenne au BFP. De plus, il développe en interne un modèle dynamique d’équilibre général hétérogène au niveau des branches et qui se caractérise aussi par une croissance économique semi-endogène. Ces modèles sont notamment utilisés pour évaluer les politiques menées dans les domaines des investissements publics, du fonctionnement de marché, et de la recherche et du développement. L’analyse des effets à long terme de tax shifts est également au programme.

Lors de sa formation, Dirk a combiné des études de mathématiques, de sociologie et d’économie.

 

Coordonnées

Equipes

  • Etudes structurelles

CV & Publications

  • Description et utilisation du modèle QUEST III R&D

    Le modèle d’équilibre général dynamique stochastique QUEST III R&D sera utilisé pour simuler les effets à long terme des mesures structurelles et/ou (para-)fiscales de chaque parti politique dans le cadre du ‘chiffrage des programmes électoraux 2024’. Le présent document résume les caractéristiques du modèle, en présente la structure et les principaux mécanismes de transmission ainsi que les limites. Le fonctionnement du modèle est ensuite illustré à l’aide de cinq réformes structurelles et (para‑)fiscales stylisées.

    DC2024_WP_05 [06/02/2024]
  • Quel niveau de concurrence dans les branches d’activité en Belgique ?

    Des estimations des mark-ups sont réalisées pour les différentes activités du secteur marchand en Belgique sur les périodes 1997-2008 et 2009-2020. Le mark-up permet d’évaluer l’intensité de la concurrence dans un secteur. Plus il est élevé, plus la concurrence est faible et donc, plus les entreprises sont capables de générer des profits économiques au détriment des consommateurs. Nos résultats montrent que la concurrence est, en moyenne, plus faible dans les services que dans l’industrie manufacturière. Au sein de l'industrie manufacturière, les variations des mark-ups sont assez limitées dans le temps et entre activités. L'industrie pharmaceutique enregistre toutefois un mark-up relativement élevé. Au sein des services, les variations des mark-ups sont plus marquées. Trois secteurs – les activités financières et d’assurance, la production et distribution d’électricité et de gaz et les télécommunications – présentent des mark-ups élevés sur la période récente à la suite d’une forte augmentation.

    Article 015 [09/02/2023]
  • Effets macroéconomiques et budgétaires du projet de plan national pour la reprise et la résilience - Rapport au secrétaire d'État pour la Relance et les Investissements stratégiques

    Le plan national pour la reprise et la résilience détaille l’usage qui sera fait de la dotation européenne de 5,925 milliards d’euros dans le cadre de la facilité du même nom. La majeure partie du plan belge, soit 88 %, est directement dévolue à un accroissement du stock de capital de l’économie belge, par des investissements publics et par des aides à l'investissement privé. À court terme, au plus fort de l’effet de relance du plan, le surcroît d’activité économique atteindrait 0,2 % par rapport à un scénario hors plan. Bien que l'impulsion soit temporaire, elle entraîne des effets de long terme en raison de l’augmentation du stock de capital public et du soutien aux activités de R&D qui améliorent la rentabilité du stock de capital des entreprises et encouragent son accumulation. À l’horizon 2040, le PIB devrait encore être supérieur de 0,1 % à la trajectoire de croissance hors plan. Cette estimation ne tient pas compte du volet réformes du plan, ni des plans de relance, d’investissements et de réforme plus larges annoncés par les Régions et le pouvoir fédéral, ni de l’effet induit sur l’économie belge des plans étrangers.

    REP 12401 [28/04/2021]
  • Description du modèle QUEST III R&D

    Le modèle d’équilibre général dynamique stochastique QUEST III R&D sera utilisé pour simuler les effets à long terme des mesures structurelles de chaque parti politique dans le cadre du ‘chiffrage des programmes électoraux 2019’. Le présent document résume les caractéristiques du modèle, en présente la structure et les principaux mécanismes de transmission ainsi que les limites. Le fonctionnement du modèle est ensuite illustré à l’aide de quatre réformes structurelles stylisées.

    DC2019_WP_02 [21/12/2018]
  • Economic impact of professional services reform in Belgium - A DSGE simulation

    Ce working paper analyse l’impact économique d’une réforme des services professionnels réglementés en Belgique à l’aide de simulations utilisant le modèle DSGE de la Commission européenne QUEST III R&D

    Working Paper 09-18 [30/06/2018]
  • Public Investment in Belgium - Current State and Economic Impact

    L’investissement des autorités publiques belges, et en particulier la part consacrée à l’infrastructure, est relativement faible à la fois historiquement et en comparaison avec les pays voisins. Une simulation à l’aide du modèle Quest III de la Commission européenne suggère qu’une augmentation permanente de l’investissement du gouvernement de 0,5% du PIB augmente le PIB, la consommation privée et l’investissement privé. L’impact de mécanismes alternatifs de financement est comparé. Finalement, une réallocation, budgétairement neutre, de l’investissement en faveur de l’infrastructure conduirait, déjà à moyen terme, à des gains substantiels de PIB et de ses principales composantes.

    Working Paper 01-17 [26/01/2017]
  • Les charges administratives en Belgique pour l’année 2014

    À la demande du Conseil des ministres et en collaboration avec l’Agence pour la simplification administrative (ASA), le Bureau fédéral du Plan est chargé d’estimer, tous les deux ans, le montant des charges administratives pesant sur les entreprises et les indépendants en Belgique. Cette estimation est basée sur la technique de l’enquête auprès d’un échantillon représentatif de la population à étudier. Cette huitième enquête suit la même méthodologie que celle utilisée lors des sept précédentes enquêtes évaluant les charges administratives des années 2000 à 2012. En plus de la dimension quantitative, l’enquête contient aussi un important volet qualitatif permettant de rendre compte de l’opinion des entreprises et des indépendants sur la problématique des charges administratives. Ce Planning Paper présente les résultats de l’enquête portant sur les charges administratives de l’année 2014. Il a pour objet de commenter les tendances tant quantitatives que qualitatives qui ressortent de l’enquête sans en expliquer les causes. L’explication des évolutions de la perception des charges administratives par les entreprises et les indépendants sort donc du cadre de cette étude.

    Planning paper 115 [29/02/2016]
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