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Les études réalisées par le BFP sont essentiellement articulées autour de 11 thèmes principaux : Comptes et analyses environnementaux, Comptes et analyses sectoriels, Développement durable, Economie internationale, Energie, Etudes structurelles, Finances publiques, Marché du travail, Perspectives et analyses macroéconomiques, Protection sociale, démographie et prospective, Transport.
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Les résultats de ce rapport montrent que la pension moyenne des femmes est moins élevée que celle des hommes : en décembre 2017, le montant brut moyen de la pension des femmes de 65 ans et plus était de 1469 euros, contre 1920 euros pour les hommes. L’écart de pension entre les hommes et les femmes était donc de 24%. L’existence de droits dérivés de pension explique en grande partie le fait que l'écart de pension n’est pas plus marqué. En effet, sans droits dérivés, l'écart atteindrait 50%.
Parce que les droits de pension dérivés (pensions de survie ou de conjoint divorcé) bénéficient surtout aux femmes pensionnées, ils réduisent les inégalités de pension entre les hommes et les femmes. Sans ces pensions, l’écart de pension au sein de la génération actuelle d’hommes et de femmes retraités en Belgique ne serait pas de 24%, mais de 50%. C’est ce qui ressort d’une étude du Centre d’expertise des pensions, réalisée sur la base de données de 2017.
MIDAS, le modèle de microsimulation dynamique axé sur la soutenabilité sociale des pensions, a fait l'objet d’une révision majeure ces dernières années afin d'améliorer la validité des projections. Ce Working Paper présente la version actuelle de MIDAS après cette révision et décrit par ailleurs certains nouveaux modules importants.
Sans nouvelles mesures gouvernementales, les dépenses sociales continueront d’augmenter jusqu’à 29,5 % du produit intérieur brut (PIB) en 2070, contre 24,5 % en 2019. Des gains de productivité plus élevés contribueraient au financement du vieillissement, de même qu’un relèvement du taux d’emploi. Pour atteindre l’objectif de taux d’emploi de 80 % en 2030, il sera nécessaire d’augmenter de manière significative le nombre de personnes présentes sur le marché du travail. Ceci ressort du rapport annuel 2022 du Comité d'étude sur le vieillissement (CEV).
Sans nouvelles mesures du gouvernement, les dépenses sociales continueront d’augmenter jusqu’à 29,5 % du produit intérieur brut (PIB) en 2070, contre 24,5 % en 2019. Des gains de productivité plus élevés contribueraient au financement du vieillissement, de même qu’un relèvement du taux d’emploi. Pour atteindre l’objectif de taux d’emploi de 80 % en 2030, il sera nécessaire d’augmenter de manière significative le nombre de personnes présentes sur le marché du travail. Ceci ressort du rapport annuel 2022 du Comité d'étude sur le vieillissement (CEV).
Le Comité d’étude sur le vieillissement (instauré par la loi du 5 septembre 2001 et confirmé par la loi du 18 décembre 2016) établit chaque année un rapport qui présente notamment une estimation des conséquences financières et sociales du vieillissement à long terme.
Ce rapport sert de base à la Note sur le vieillissement rédigée chaque année par le gouvernement fédéral. Il est publié pendant la première quinzaine de juillet. La loi confie le secrétariat du Comité d’étude sur le vieillissement au BFP. A ce titre, le BFP joue un rôle essentiel dans la réalisation des exercices d’évaluation nécessaires et dans la préparation du rapport annuel du Comité. Le Comité d’étude peut, d’initiative ou à la demande du gouvernement, effectuer des études spécifiques en relation avec le vieillissement.